Lettre du 7 mai 1732 ( ?) : sur Labat marchand lyonnais de soie qui fait le rabatteur pour les collectionneurs de monnaies : « M. Labat travaille autant pour les médailles que pour son commerce ; je crois bien qu’en cas de concurrence, il préférerait ce dernier objet, mais il vaque aux deux en même temps et à encore du temps de reste » (Paris, BnF, Mss. N. ac. Fran. 4384, f° 14 ; Sarmant 2003, p. 204, note 74).