Lettre du 10 avril 1733 ( ?) : « L’entreprise de Gessner est bien considérable, surtout si cet homme n’est jamais sorti de son pays. Je ne suis point étonné que ce recueil contienne cinq volumes in-folio, mais j’ai peine à croire que les cabinets de Paris, sans compter les autres, ne soient pas en état de lui fournir un volume de plus. Mon cabinet seul, en cas qu’il ne connaisse les médailles que par les livres, lui en fournirait plus de trois mille. Les autres inconvénients que vous remarquez sont sans nombre, cependant il faut attendre et, si tout n’est pas bon dans cet ouvrage, il y aura toujours du nouveau et du singulier » (Paris, BnF, Mss. N. ac. Fran. 4384, f° 9 ; Sarmant 2003, p. 253, note 44).