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Félix Cary - Claude Picard Duvau - 1730-11-23

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Félix Cary, Marseille

Félix Cary - Claude Picard Duvau - 1730-11-23
FINA IDUnique ID of the page  2327
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Ms. Fonds français 15185, f° 121r
AuthorAuthor of the document. Félix Cary
RecipientRecipient of the correspondence. Claude Picard Duvau
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . November 23, 1730
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Marseille 43° 17' 46.21" N, 5° 22' 11.82" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Claude Génébrier
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Roman , Trajan , Faustina , Drawing , Medallion
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065154d/f124.image.r=15185%20Duvau
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 23 nov. 1730 (de Marseille) : « J’ai reçu, Monsieur, à la campagne où je suis depuis quelques jours et que je ne quitterai que la semaine prochaine, les deux lettres que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire et le médaillon de Trajan que vous avez eu la bonté de m’envoyer. J’aurai attendu pour vous en accuser la réception d’être en ville et à portée de vous envoyer la Romanus Diognes que je vous ai envoyé, mais je craignais que vous ne ( ?)ez à peine du sort de ce Trajan et de la méd. d’or de Faustine pour laquelle je vous fais mes remerciements. Votre médaillon est en bien mauvais état. Je ne sais si je pourrai en faire l’usage auquel je le destinais. Dès que j’aurai quitté la campagne j’aurai l’honneur de vous écrire plus amplement sur les divers articles de vos deux lettres, cependant je vous prie de faire bien des compliments à Mons. Genebrier et de lui dire que ma seule paresse est cause que je ne lui ai pas encore envoyé le dessin que je lui ai promis, mais je saurai vaincre cette paresse et tenir incessamment ma parole ; Je suis …» (Paris, BnF, Manuscrits Français 15185, f° 121r [en ligne sur Gallica]).