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  • Property:Remarks  + (Remarques)
  • Galland 1739 by Jean Bouhier  + (Remarques (Guy Meyer) : La dissertation deRemarques (Guy Meyer) : La dissertation de Galland est insérée dans un article intitulé, « Dissertation de M.A.G. sur une médaille grecque de Diaduménien frappée à Éphèse, etc. Supplément à la VIII. Lettre du Voyage littéraire de Normandie », pp. 891-913 et encadrée par une introduction et une conclusion de Jean de La Roque, à qui Galland avait adressé cette dissertation qui n'est pas conservée autrement, peu après le 13 juillet 1705. Jean de La Roque fait allusion à cette dissertation dans la « Suite du Voyage de Basse-Normandie. Lettre VIII », parue dans le Mercure d'avril 1732, p. 639, après avoir cité pp. 638-639, un extrait d'une lettre que Galland lui avait adressée de Caen, le 13 juillet 1705, lui annonçant cette découverte : « Au retour de mon voyage à Paris, M. Foucault, qui avait fait travailler à Vieux pendant mon absence, me donna à examiner un grand nombre de médailles fort crasseuses qu'on y avait déterrées. Il s'en est trouvé une de moyen bronze où l'on apercevait presque rien, ni du côté de la tête ni au revers; je la nettoyai et je vis paraître une très belle médaille grecque de Diaduménien, ayant d'un côté la tête de cet empereur, avec cette légende C et, sur le revers, le philosophe Héraclite debout avec le manteau de philosophe et une massue qu'il tient de la main gauche et ces deux mots, C. Cette médaille a donné lieu à une dissertation que je mets actuellemnent au net et que je me propose de vous faire part ». Ce à quoi La Roque ajoute : « M. Galland tint sa parole : il m'envoya peu de temps après cette dissertation avec un dessin exact de la médaille en question que j'ai depuis vue en original dans le Cabinet de M. Foucault, je vous communiquerai l'une et l'autre en son temps » (Mercure, avril 1732, pp. 638-639). Cette médaille alors qu'elle n'était encore connue que par la lettre de Galland du 13 juillet 1705 telle que publiée dans le Mercure d'avril 1732 provoqua une intervention polémique de Daniel Polluche publiée dans le Mercure de juillet 1734, pp. 1516-1520, elle-même recopiée par Bouhier dans son manuscrit de Mélanges, ff° 124 v-125r, voir infra. Polluche contestait le revers. Il y voyait un Hercule et il pensait que la monnaie était signée et non pas légendé, Héraclite.</br>Le président Bouhier avait recopié, toujours dans le même manuscrit de Mélanges, ff° 78 v-80 r, la huitième lettre du Voyage de Basse-Normandie, sous le titre, « XIII. Lettre sur quelques antiquitéz considérables trouvées en Normandie au lieu de Vieux, près de Caen, tiré du Mercure de France d'avril 1732. Pag. 631 », suivie, ff° 80 v-83 v, des « Remarques sur les ruines de Vieux », tirées du même Mercure d'avril 1732, pp. 641-656, où La Roque reprend à son compte les critiques de Galland contre Huet au sujet des origines de Caen. Outre la monnaie de Diaduménien, il est plusieurs fois question de découvertes de médailles dans ces deux articles.</br>La dissertation de Galland n'avait circulé que sous forme manuscrite. La lettre de Galland à Jean de la Roque, du 13 juillet 1705, correspond à la lettre CCXVIII, p. 503, de l'édition de sa Correspondance par Abdel-Halim. Les lettres de Basses-Normandie devaient être publiées en un volume dont il subsiste le manuscrit à la Médiathèque de Chantemerle, Corbeil-Essonnes, Ms 6, Voyage littéraire de Normandie. La lettre de Galland s'y trouve p. 132.. La lettre de Galland s'y trouve p. 132.)
  • Gottfried Wilhelm Leibniz - Sophie Charlotte von Hannover - 1699-1-4  + (Remarques (Guy Meyer) : Leibniz rapporte iRemarques (Guy Meyer) : Leibniz rapporte ici les débuts de la polémique qui opposa sur sa fin Antoine Galland à l'abbé de Valmont, sur celle-ci Abdel-Halim 1964, p. 375-377 (avec des erreurs et des manques). Il y reviendra dans d'autres lettres postérieures, d'autant plus que Morell qui gardait une dent contre Galland suivait l'affaire de loin mais avec intérêt. Spanheim qui y reviendra lui aussi dans la troisième édition (1717) de ses Dissertationes, Vol II, p. 306, en avait déjà traité dans Les Césars de l'Empereur Julien traduit du grec, Paris 1683, p. 103 [anonyme sur la page de titre mais il signe l'épitre dédicatoire] où il commente l'expression « démarche de femme » : « à quoi je pourrait rapporter une médaille d'or assez extraordinaire de cet empereur, laquelle se trouve dans le cabinet d'un prince illustre de l'Empire, au rapport des savants antiquaires qui l'ont vu qui m'assurent qu'elle est antique et de qui j'en ai eu le dessin, où il se trouverait l'inscription suivante de Gallienæ Augustæ, avec le visage de Gallien. Je me contente de l'exposer à la vue et au jugement des curieux dans un endroit qui y parait si propre ; soit, après tout, qu'il y ait du dessin ou du hasard dans une telle inscription... » (avec la reproduction de la monnaie). Jean Hardouin c'est exprimé sur cette monnaie, en renvoyant à Spanheim, dans sa Chronologia veteris testamenti, paris, 1697, p. 119 (première partie sous l'année sixième), expliquant que GALLIENAE équivalait au vocatif, Galliene. Il souligne ensuite que les légendes des monnaies ne sont pas insolentes ou ironiques comme aurait pu le laisser penser Spanheim. Le Lorrain de Vallemont, plutôt néophyte en la matière, intervint avec sa Nouvelle explication d'une médaille d'or du cabinet du roi, sur laquelle on voit la tête de l'Empereur Gallien avec cette légende : GALLIENAE AUGUSTAE, Paris, 1698 (suivi d'une seconde lettre en 1699, contre Galland et Baudelot. Cette monnaie avait déjà été mentionnée par Charles Patin in de Numismate antiquo Horatii Coclitis..., Padoue, 1678, p. 43). Vaillant qui l'avait intégré en 1692 dans ses Numismata Imperartorum Romanorum praestantiora, II, p. 385, retient l'idée d'une caricature et souligne qu'il n'y avait nulle part la paix dans l'empire pendant le règne de Gallien. Il qualifie cette pièce d'extrêmement rare. Dès 1697, Galland, Lettre de M. G. touchant quatre médailles antiques nouvellement publiées par le R.P. Chamillard J., publiée à Caen, p. 13-14, qui pour une fois est du même avis que le père Hardouin (les monnaies ne sont jamais satiriques et il opte lui aussi pour un vocatif ; pour une fois aussi Galland prend le contrepied de l'explication de Vaillant ; la publication de la lettre de Galland suit de peu celle de Hardouin), puis, plus spécifiquement dans Lettre touchant la nouvelle explication d'une médaille d'or du cabinet du Roy, Caen, 1698, et Baudelot, Réponse à M. G``` où l'on examine plusieurs questions d'antiquité et entr'autres la Dissertation publiée depuis peu sur le Gallien d'or du Cabinet du Roy, Paris, 1698, p. 32-55, où B. défend une « facétie » (p. 54) ou une satire dans une monnaie frappée par quelque ennemi de Gallien (p. 44). La polémique autour de cette monnaie n'en est encore qu'à son début. Vallemont était loin d'avoir dit son dernier mot à ce sujet. Il invoquera une prétendue monnaie de Galliena Augusta qu'il avait retrouvée dans Goltzius. Les arguments de Vallemont sont principalement tirés d'un épisode apocryphe de l'Histoire Auguste. Gallien n'a jamais eu de cousine dénommée Galliena. Sur cette monnaie, J. P. C. Kent, « Gallienae Augustae », NC, 13 (1973), p. 64-68, qui explique la légende comme Hardouin [et Galland qu'il ne mentionne pas] par un vocatif hypercorrecte ; sur l'épisode apocryphe, Jacques Schwartz, « La fable de l'usurpateur Celsus », AC, 33, 1964, p. 419-430. La querelle entre Vallemont et Aymar à propos de la baguette de sourcier est longuement narrée par l'abbé Du Bos dans une lettre à Bayle, du 27 avril 1696, citée dans FINA pour d'autres extraits [Gigas 1890, p. 261, Lettre III ; http://bayle-correspondance.univ-st-etienne.fr/, Lettre 1107].ondance.univ-st-etienne.fr/, Lettre 1107].)
  • Beauvais 1736a by Jean Bouhier  + (Remarques (Guy Meyer) : Selon l'unanimité Remarques (Guy Meyer) : Selon l'unanimité de ses biographes Guillaume Beauvais serait né à Dunkerque, en 1698, puis sa famille se serait installée à Orléans. L'intéressé lui-même écrit dans une lettre adressée à Charles-Clément-Martin de Saint-Amand (1700-1763), receveur du tabac à Toulouse, datée d'Orléans, le 12 janvier 1751 : « Je suis né en 1698, d'un père négociant en gros à Orléans, d'une vertu exemplaire, et mort en odeur de sainteté » (Besançon, Bibliothèque Municipale, Ms 610, f° 21 r. Il signe ses lettres Beauvais l'Aîné. Il était l'ami et le compatriote de Daniel Polluche auquel il était peut-être apparenté par alliance. Les biographies de Beauvais semblent en contradiction avec l'autobiographie succincte de la lettre du 12 janvier 1751. Beauvais critique dans la Lettre recopiée par Bouhier une dissertation du père Alexandre-Xavier Panel, S.J., sur de prétendus triumvirats induits par de fausses monnaies, « Article LXXIII. Dissertation en forme de lettre adressée à M.*** sur le triumvirat de Galba, Othon, et Vitellius, et sur celui de Pescennius, Albin et Sevére : par le Père Panel, de la Compagnie de Jésus », Mémoires pour l'histoire des sciences et des beaux-arts (ou Journal de Trévoux), août 1735, pp. 1349-1382. Jean de La Roque avait déjà répondu à Panel par une « Lettre de M.D.L.R. sur l'erreur de quelques antiquaires qui préfèrent l'autorité de certaines médailles à celle des monumens historiques », Mercure, décembre 1735, p. 2616-2636.s », Mercure, décembre 1735, p. 2616-2636.)
  • Francesco Bianchini - N. N. - 1712-4-17  + (Remarques : (1) Ce qui tient à la publicatRemarques : (1) Ce qui tient à la publication des médaillons dont il s'agit ici, s'est passé de la manière qu'on va le raconter. Après la mort de Jérôme Corraro qui le premier les avait recueillis, et qui s'était servi de Bianchini pour commencer de les faire graver à Rome par Joseph-Marie Junster. Ange son fils, jaloux de perpétuer la gloire de son père, voulut que l'ouvrage se continuât et se finît : et je conserve à part moi, une des premières épreuves, pour ne pas dire la seule, de ces médaillons dans chacun desquels on voit sur le cordon qui l'entoure, les armes de Corraro avec cette inscription au haut gravée en cuivre : Numismata selectiora Maximi Moduli Aerea ex musaeo Illustriss. et Excell. D. Angeli Corrarii a Hieronymo ejus patre Senatore Veneto præstantissimo olim inchoata et collecta, nunc demum aucta et in lucem data Venetiis ann. MDCXCVI. in fo Mais comme d'un côté Ange Corraro aurait voulu que ces monumens d'antiquité parussent enrichis de belles et utiles explications, et que d'ailleurs trop distrait par les affaires publiques et les sciences particulières, il ne pouvait donner assez de tems au succès de cette entreprise, la mort l'ayant surpris au milieu de toutes ces causes de retard, en 1705, l'ouvrage fut laissé là et resta ignoré jusqu'en 1712. A cette époque Isabelle sa fille épousa Almoro Pisani fils de Louis alors Chevalier et Procurateur de St-Marc, et puis Doge. Cette Isabelle apporta en dot à son mari avec des fonds considérables et des meubles précieux, une quantité de livres, et ce célèbre Musæum composé non-seulement de médaillons, mais de très-riches médailles grecques et romaines, puisque une assez grande quantité de celles du moyen-âge et moderne, qu'on conservait dans.la Bibliothèque Pisani, a été acquise, par mes soins, par les frères Chevaliers Âlvise, et François encore vivans. A l'époque de ce mariage, un autre Âlmoro Pisani oncle du mari d’lsabelle et l'un des frères du Doge, celui justement qui fut le bienfesant instituteur de cette Bibliothèque, conçut le projet de faire tirer des planches de Junster, dont on a fait mention plus haut, et qui avaient suivi le sort du Musæum, un grand nombre d'exemplaires de ces mêmes médaillons, et de les publier, ce qu'il fit, en donnant pour titre à l'ouvrage Numismata ærea sélection: , e Musoeo Pisano, olim Corrario, sans date, et sans aucune explication, ‘relicto sua cuique pro Minerva, dissertationum loco‘, à l'exemple des plus fameux médaillons anciens de Louis XIV, auxquels le Directeur du cabinet royal donna cette inscription: nullas inscribi notas sapientius durit: et cela, d'après l'avis du seul Abbé Joseph De Capitani, qui dans son avant-propos lib Pisanorum Numismatum etc. in-4° imprimé et adressé à Almoro Pisani, s'avisa de vanter ce dernier ouvrage et la manière de l'annoncer qu'il se proposait lui-même d'imiter. Le Chanoine Bianchini était d'un avis différent, et après la mort du Docteur Bon qui avait été chargé par Ange Corraro d'en donner l'explication avec cette lettre écrite, je ne sais à qui, mais bien certainement à une personne qui avait des rapports d'intimité avec la famille Pisani, il offrit au Procurateur Louis frère d'Almoro de se charger lui-même de cette illustration ; c'était un homme d'une immense érudition dans l'histoire et sur l'antiquité, et en cela très-capable d'une pareille entreprise. On voit par le fait que sa proposition ne fut point acceptée : et long-tems après, c'est-à-dire en 1740, et après la mort de Bianchini, on vit paraître un volume portant pour titre : in numismata aerea selectiora e Musaeo Pisano, olim Corrario, commentarii in f° dédié au Doge Pisani, et dont le père D. Albert Mazzoleni depuis Abbé Bénédictin du Mont Cassin était l'auteur bénévole : ce volume fut suivi de deux autres Animadversiones etc. in-f° qui parurent en 1741-44; ouvrage, il est vrai, d'un travail immense et plein de mérite, mais qui aurait dû l'être davantage, si Mazzoleni avait su joindre à sa vaste et rare érudition une critique plus éclairée. Il ne faut pas dissimuler la crainte qui aurait pu naître un jour dans la famille Pisani de se voir dépouillée du Musaeum, qu'Isabelle y avait apporté en dot. Elle cessa aussitôt que le 3o septembre 1757 on eut publié son testament qui existe dans les actes de Louis Gabrieli N. V., où la testatrice s'exprime ainsi : (Omissis) « Je légue au N. Almoro Pisani mon petit-fils, fils d'André mon fils, le Médailler et les livres appartenans à ma famille Corraro, et qui sont déjà dans la Bibliothèque de la maison Pisani : et dans le cas où ledit Almoro n'aurait pas d'enfans, je veux que le Médailler et les livres restent, ainsi qu'ils le sont, dans la Maison Pisani ». Cet Almoro mourut en effet en 1766 âgé de 19 ans, fiancé, mais non-marié; et en vertu de la prévoyante disposition testamentaire d' Isabelle, la possession et la propriété du célèbre Musaeum fut assurée à la Maison Pisani. (N. de l'Éd.)</br>(1) Ce n'est réellement pas de Jérôme, ainsi qu'on l'a vu, mais d'Isabelle sa fille, que ce Médailler a passé à la Maison Pisani. (N. de l'Ed.) </br>(1) Né à Amiens en 1645, mort à Paris en 1725. De la condition de servir des messes, il devint Evêque. On a de lui des dissertations sur les médailles et l'histoire de France. (N. du Tr.)</br>(2) Le P. Paolo Pedrusi Jésuite. On a de lui un traité des médailles impériales en 8 vol, in-folio, imprimé à Parme en 1694. (id.) </br>(1) Le Journal des Savans d'Italie, tom. II, pag. 422, nous apprend que le Docteur Nicolas Bon Jurisconsulte, était né à Candie en 1654, d'une famille noble Venitienne transplantée dans cette île : qu'en sortant de l'Université de Padoue où il avait fait ses premières études, et d'où il revint fort-instruit dans les langues Grècque et Latine, il s'établit à Venise : que s'y étant dévoué particulièrement à l'étude des Médailles et de tout autre genre d'antiquité, il s'y distingua de manière à mériter et à obtenir d'être recherché pour présider à la conservation des plus illustres Musaeum qui existaient de son tems à Venise, tels que ceux de Morosini, Marcello, Corraro, afin de les mettre en ordre, et de les augmenter. Il est à présumer qu'il aura donné les mêmes soins au Musaeum du N.V. Jean-Dominique Tiepolo avec qui il était liè d'amitié. Sa réputation le rendit bientôt célèbre dans toute l'Italie, et même au-delà des Alpes. En effet on a vu recourir à ses rares connaissances ou personnellement ou par voie de correspondance, non-seulement des jeunes gens qui désiraient d'être initiés dans cette science, mais des Savans d'un âge mur qui cherchaient à s'instruire dans tout genre quelconque d'érudition, et parmi lesquels on distingue le Card. Noris, le Co. Mezzabarba, le Vaillant, Gisbert Cuper, Jacq. Gronovius, C. Patin, Spon, Leibnitz, Laurent Beger, qui l'ont tant vanté ensuite dans leurs écrits. Nous n'avons de lui, au-moins qui soient à ma connaissanse, que deux lettres latines imprimées et adressées à Spon sur l'explication des ara ignotorum atque obscurorum quorumdam Deorum: lettres qui sont insérées dans le tom. 7 Antiquitatum Graecarum de Gronovius, pag. 257 et 268. Mezzabarba dans son catalogue déjà cité Auctorum et illustrium Musæorum etc., nous apprend que cet antiquaire était occupé de faire par ses médailles une illustration de l'histoire des Rois de Syrie, et qu'il se proposait aussi d'augmenter et d'enrichir des trésors de son érudition les ouvrages de le Vaillant. Et le docteur Bon lui-même dans la première de ses deux lettres à Spon dont il a été question ci-dessus, après avoir dit qu'il avait une opinion toute différente de celle d'Albert Rubenius sur les Néocores, ajoute : ut te aliquando perlegere juvabit in eo libro (de Neocoris) cui adornando in cumbo, illum forte brevi editurus. Mihi crede, quoeso, circa hanc materiam me evolvisse quidquid libri marmoraque suggerunt. Mais après sa mort arrivée en 1711, on n'a plus entendu parler d'aucun de ses écrits; il est à croire ou qu'ils ont péri, ou qu'ils sont restés tout-à-fait inconnus dans quelqu'une de nos Bibliothèques » (N. de l'Éd.)u'une de nos Bibliothèques » (N. de l'Éd.))
  • Gabriele Lancillotto Castelli - Ignazio Paternò Castello - 1770-2-20  + (Remarques : 46 TORREMUZZA 1770. 47 Nella PRemarques : 46 TORREMUZZA 1770.</br>47 Nella Praefatio a TORREMUZZA 1769 (integralmente ripresa in ID. 17842), XI, si legge: Catanensia nonnulla jam pridem communicaverat Epigrammata Vitus Maria De Amico […] eorum postea auxit Syllogen praeclarissimus Vir et sanguinis spendore, et omnigena eruditione illustris Ignatius Paternionus Castellus Princeps Biscaris, qui et Marmora omnia in suum Antiquitatum ditissimum Museum invecta excribenda, et mihi mittenda curavit, aggiungendo, in nota: Ea sunt, quae passim in hoc Opere titulum Musei Paternioni inscriptum praeferunt. Già in TORREMUZZA 1762 sono menzionate epigrafi del museo Biscari (vd., ad esempio, p. 264, nota C e p. 342, nota A). </br>48 Vd., con altra bibliografia, PAFUMI 2009b.</br>49 PARUTA 1723, II, tavv. 32-32***.</br>50 CARRERA 1639-1641. In Memorie 1804, pp. 7-8, Torremuzza ricorda come tale «opera, di cui non si fa conto alcuno», ebbe però un ruolo importante nella sua formazione: «a questo inutile libro capitato, come ho detto per sorte in mie mani, devesi ascriver la causa d’essermi io rivoltato, e posteriormente tutto immerso negli studj dell’antiquaria».</br>51 Su queste monete vd. TORREMUZZA 1770, pp. 223-226.</br>52 HOOVER 2012, pp. 163-164, nn. 559-565 (tetradrammi datati intorno al 461-450/445 a.C.).</br>53 Vd. nota 46.</br>54 AMICO 1741, tav. 5, n. 10 e tav. 7, nn. 12-3.</br>55 Luigi Maria Gravina, collezionista palermitano.</br>56 Bertrand Capmartin de Chaupy (1720-1798); il 18 maggio 1770 è presente alla scoperta della dedica di Facundus Porfyrius Mynatidius al Genius splendidae urbis Catinae (CIL X, 7014 = KORHONEN 2004, pp. 149-151, n. 7) nel Teatro romano di Catania (BISCARI 1771, p. XVI, nota 10).</br>57 CAPMARTIN DE CHAUPY 1767-1769.</br>58 CLUVERIUS 1619.IN DE CHAUPY 1767-1769. 58 CLUVERIUS 1619.)
  • Camille Le Tellier de Louvois - Jean-Baptiste Du Bos - 1701-10-31  + (Remarques : Luis Francesco de La Cerda n'est pas connu comme collectionneur à la différence de plusieurs de ses prédécesseurs, voir I. M. Iasiello, Il collezionismo di Antichità nella Napoli dei viceré, Naples, 2003, p. 41-44.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Pierre Bayle - 1699-2-26  + (Remarques : Sur l'affaire de l'Histoire deRemarques : Sur l'affaire de l'Histoire de Ptolémée Aulètes de Baudelot, voir les lettres de Du Bos à son cousin Foy de Saint-Hillaire, sans lieu ni date mais fin 1698 ou début 1699 de Paris et la lettre du même à Thoynard du 17 septembre 1699. On peut supposer de la lettre précédente et apparemment perdue de Du Bos à Bayle qu'il lui annonçait la parution de ce livre et peut-être même qu'il y avait reconnu Dante. Dans l'extrait ci-dessus, Du Bos parle à Bayle de la lettre de Galland adressée à Genébrier le 24 décembre 1698. Cette lettre quoique communiquée à d'autres amis dont l'abbé Nicaise à Dijon devait rester secrète, mais Du Bos porte témoignage de sa circulation en autographes et en copies dont celle du manuscrit de l'Arsenal 5417, ff° 254 sqq. Ce qui devait finir par arriver arriva : Baudelot eut connaissance de la critique et de son auteur. A priori donc, la lettre devait restée secrète, mais l'idée d'une publication effleura Galland puisqu'il en recopia la minute dans le manuscrit BnF, Fr 6137, p. 107-123, destiné, dans son esprit du moins, à la publication. De fait, elle ne fut jamais imprimée avant 1912. C'est par cette lettre que Denis 1912 ignorait que Lombard 1913, p. 34-35, à démontré l'inanité de l'attribution de la lettre du 24 décembre 1698 à Du Bos par Denis et qui doit maintenant être rendue à Galland.qui doit maintenant être rendue à Galland.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1699-9-17  + (Remarques de Guy Meyer : Baudelot avait puRemarques de Guy Meyer : Baudelot avait publié à Paris en 1698, Histoire de Ptolémée Aulètes. Dissertation sur une pierre gravée antique du cabinet de Madame. Dans la préface, il évoque déjà des différents avec Galland quant à l'identification du sujet qui reposait selon Baudelot sur la parfaite identité du profile du personnage gravé sur l'améthyste, et non pas une agate, de la duchesse d'Orléans avec celui de Ptolémée Aulète sur certaines monnaies. Galland en reçut rapidement un exemplaire par l'intermédiaire de Genébrier, ami commun de l'un et de l'autre. Il répondit à Genébrier par une lettre critiquant sévèrement Baudelot, datée de Caen, le 24 décembre 1698. Galland révèle dans sa correspondance qu'il adressa des copies de cette critique à plusieurs amis parisiens et à l'abbé Nicaise, à Dijon. Ces copies circulèrent et on en fit d'autres. Il y en a un exemplaire dans le manuscrit de la Bibliothèque de l'Arsenal MS 5447, Barthaud tome XX, ff° 254-258, qui n'est pas autographe. Dans un premier temps, Denis 1912, pp. 77-81, Lettre 68, publia la copie manuscrite de l'Arsenal, attribuant cette lettre à Du Bos. Lombard, dès l'année suivante, pp. 34-35, après sa Lettre 67, démontra l'inanité de cette attribution. M. Abdel-Halim retrouva une minute autographe dans BnF, MS FR 6137, pp. 107-123 et en rendit la paternité à Galland, voir Correspondance, pp. 242-243, Lettre XCIII, incipit seulement, et Antoine Galland, pp. 378-380. Il put aussi nommé le destinataire original de la lettre, le médecin numismate Claude Genébrier. Le secret fut relativement bien gardé, mais pas suffisamment pour que Baudelot ne finisse pas par lire cette critique et en savoir l'auteur. Il y fit une réponse manuscrite, Arsenal MS 5447, ff° 263-286, et se brouilla avec Galland. Non seulement Galland n'était pas convaincu par l'identification, mais surtout il reprochait à Baudelot de corriger abusivement des extraits de Pline l'Ancien et de Cicéron, mais encore de ne pas maîtriser le grec en commettant des erreurs dans ses citations et des confusions dans ses traductions. L'expression « les néocores d'Utrecht » doit être prise au pied de la lettre, il s'agit des « gardiens du temple du savoir » regroupés autour de Graevius, mais c'est aussi un jeu de mot sur le nom de l'un des auteurs de la recension Ludolphus Neocorus (Ludolph Küster, 1670-1716) associé à Henricus Sikius (Heinrich Sike, mort en 1712). Ils avaient publié une critique tout aussi sévères que celle de Galland dans la Bibliotheca librorum novorum, IV, 1699, pp. 367-379, périodique publié à Utrecht. La fin de l'article, p. 379 (il manque la dernière phrase dans la lettre de Du Bos) est encore plus destructrice que les critiques de Galland, puisqu'ils reconnaissent à coup sur le profil de Dante sur l'Améthyste. Or, ils semblent bien devoir cette identification à Du Bos qui l'adressait à son cousin Léonore Foy, abbé de Saint-Hillaire dès l'automne 1698 ou l'hiver 1699. L'anonyme qui a communiqué cette critique dévastatrice ne peut-être que Du Bos, à moins, mais c'est peu probable, que les censeurs d'Utrecht l'aient trouvé d'eux-mêmes. Du Bos, en revanche, ne leur a pas fourni les critiques anonymes de Galland dans sa lettre à Genébrier. Le compte-rendu des deux professeurs d'Utrecht était totalement indépendant de la lettre de Galland et, à une exception près (pp. 374-376, à propos de Potheinos changé par Baudelot en Photinguios ; les remarques sur les couronnes est trop générale pour constituer autre chose qu'un passage obligé d'autant plus que Galland et les recenseurs de la Bibliotheca invoquent des arguments et des auteurs distincts), porte sur des points différents. Il n'y a donc aucun rapport entre ces deux critiques. Sur la lettre de Galland, voir la lettre de Du Bos à Bayle du 26 févier 1699. Claude Deshayes-Gendron (c. 1663-1750) était l'un des médecins attaché à la maison d'Orléans, ami de Thoynard et de Du Bos. Sur les travaux de Du Bos dans le cabinet de médailles de Bruxelles (classement des séries et catalogue), appartenant à Maximilien-Emmanuel de Bavière, voir les lettres suivantes datées de Bruxelles et celle de Du Bos à Graevius du 20 décembre 1699. de Du Bos à Graevius du 20 décembre 1699.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1696-10-19  + (Remarques de Guy Meyer : Cette lettre est Remarques de Guy Meyer : Cette lettre est difficile à suivre car elle est toute en allusion et sous-entendu. Elle est expédiée de Beauvais, car à la fin Du Bos explique que son beau-frère Lucien Danse, mari d'Élisabeth Du Bos (sur cette famille voir la monographie de P. Goubert, Familles marchandes sous l'Ancien Régime : les Danse et les Motte de Beauvais, Paris, 1959 ; la fille de ce couple, et donc nièce de Du Bos, épousa un Le Caron de Troussures ce qui explique, en partie, la richesse de la collection du château de Toussures, mais les Le Caron sont apparentés à toute l'aristocratie « bourgeoise » de Beauvais, elle même caractérisée par une forte endogamie ; la collection de Troussures, en ce qui concerne les lettres et les manuscrits des XVIIe-XVIIIe siècles, a été dispersée, à la suite de diverses épisodes, entre l'Institut de France et la collection d'autographes des Rothschild, aujourd'hui à la BnF) qui peut se charger d'une commission pour Thoynard. Le premier paragraphe renvoie à l'édition annotée par l'auteur de Bergier, Histoire des grands chemins..., voir la lettre de Du Bos à Bayle, du 25 juin 1696. La suite est beaucoup plus compliquée. Du Bos poursuit ici sa remise en cause de l'histoire romaine sur des intuitions mal fondées : il semble postuler un voyage de Trajan en Orient dès 106. Il s'oppose sur ce point à plusieurs érudits. Le premier, désigné comme une « éminence antiquaire » doit être le cardinal Henrico Noris. Le titre abrégé, et sans doute mal transcrit, doit renvoyer, à l'Epistola consularis de Noris, publiée à Bologne en 1678. L'évêque de Saint-Asaph n'est autre que William Lloyd (1627-1617, évêque de Saint-Asaph, au Pays de Galles, de 1680 à 1699, puis évêque de Worcester), plus connu pour son protestantisme intransigeant et militant que pour se travaux d'érudition. C'était pourtant l'ami d'Henry Dodwell (1641-1711) polémiste anglican et non moins savant. Lloyd avait collaboré aux Dissertationes in Irenæum (Oxford, 1689) de Dodwell. Dodwell et Lloyd avait entretenu une correspondance avec le père Pagi et le cardinal Noris au sujet de questions de chronologie, sujet qui était au centre des recherches de Thoynard qui échangeait lui-même avec ces deux religieux catholiques, sur Lloyd et Dodwell et leurs relations épistolaires avec Noris et Pagi voir Jean-Louis Quantin, « Anglican scholarship gone mad ? Henry Dodwell (1641-1711) and Christian Antiquity », in Chr. Ligota et J.-L. Quantin edd., History of scholarship : a selection of papers from the Seminar on the history of scholarship held annually at the Warburg Institute, Oxford, 2006, pp. 313, 316, 318, 326-328. Lloyd publia les résultats de ses recherches chronologiques dans les Series chronologica, Oxford, 1700. Les recherches et les lettres de Lloyd sont explicitement mentionnées par le Père Antoine Pagi, dans ses critiques contre Baronius, Critica historico-chronologica in Annales ecclesiasticos, Paris 16891, première partie, pp. 72-73, 81, 84, 86, 89, 94; seconde partie, pp. 4, 8, 9, 12, 19, 22. J'avoue ignorer absolument ce qu'est la médaille de « Rabathamna » [c'est bien l'orthographe du manuscrit]. La suite est encore plus obscure. Le « El Bizarro », selon Dom Paul Denis serait, avec un « ? » toutefois, l'historien Pierre Bizzarri (1530-158?), mais, dans son Specimen, p. 57, Morell renvoie à « Vaillant, p. 124, Tom. II », ce qui correspond exactement à la référence donnée par Du Bos. Pourquoi donc Du Bos désigne-t-il son cousin Vaillant sous cette appellation cryptée ? La monnaie décrite par Du Bos, figure à la planche V du Specimen, avec une fleur de lys qui indique le cabinet du roi (selon un système mis au point par Vaillant et qu'il avait présenté devant le cercle du duc d'Aumont ou celui du président Bignon qui en avait pris la suite : Thoynard, Du Bos, et Morell avaient tous fréquentés les réunions numismatiques du président Bignon, tout comme Galland et Foy-Vaillant). Si l'on se fie à la planche de Morell, la légende du droit est mal retranscrite autant par Morell que par Du Bos : IMP. TRAIANVS AVG. GER. DAC. P.M. TR.P. COS VI P.P. [de plus, Du Bos a omis le titre de Père de la Patrie à la fin de la légende]. La même monnaie, sans la légende du droit, dans Vaillant, Numismata præstantiora, II, p. 124 (édition de 1694). On retrouve une mention « del Bizarro » dans une lettre de Du Bos à Thoynard, datée d'Amsterdam, le 4 septembre 1698 [Denis 1912, p. 70, Lettre 64 ; Lombard 1913, p. 33, Lettre 61, incipit seulement] : On veut réimprimer ici l'œuvre del Bizarro. Les Numismata praestantiora avaient déjà été réimprimé chez Gallet, à Amsterdam, en 1696 (2 vol.).</br>Sur « El Bizarro », voir aussi la lettre de Du Bos à Thoynard datée de Bruxelles, le 25 septembre 1698 qui confirme, s'il en était besoin, l'identification de Foy-Vaillant derrière ce sobriquet, péjoratif semble-t-il, ou à tout le moins, ironique. Ce ridicule surnom apparaît quatre fois sous la plume de Du Bos, toujours dans des lettres adressées à Thoynard, outre la lettre ci-dessus du 19 octobre 1696 et celle qu'on vient de citer du 25 septembre 1698, dans celles du 4 septembre 1698 et du 4 octobre 1699. du 4 septembre 1698 et du 4 octobre 1699.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1695-9-18  + (Remarques de Guy Meyer : Delaulne est à laRemarques de Guy Meyer : Delaulne est à la fois l'éditeur des Quatre Gordiens et du Journal des Savants. Le résumé préparé par Du Bos et révisé par Thoynard paru dans le numéro du 23 janvier 1696 du JS, p. 30-33. Au moment de la lettre Thoynard réside à Paris, rue Mazarine. Henri Basnage de Beauval en publia une critique dans son Histoire des ouvrages des sçavans de juillet 1696, p. 486-489, plutôt favorable.uillet 1696, p. 486-489, plutôt favorable.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Johann Georg Graevius - 1698-12-20  + (Remarques de Guy Meyer : Il faut comparer ce que Du Bos dit du cabinet de Maximilien-Emmanuel de Bavière dans sa lettre du 28 septembre 1699 à Thoynard. Il est possible qu'il existe un autre exemplaire de cette lettre à Utrecht dans les archives Graevius.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1699-10-4  + (Remarques de Guy Meyer : Je rappelle qu'ElRemarques de Guy Meyer : Je rappelle qu'El Bizzaro est Jean Foy-Vaillant. Apparemment, Vaillant nourrissait une sorte de jalousie vis-à-vis de Thoynard quant à l'affection de Du Bos à l'égard de ce dernier. Dans la lettre à Graevius, datée du 20 décembre 1699, il évalue la collection à environ deux mille trois cents monnaies.à environ deux mille trois cents monnaies.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1699-6  + (Remarques de Guy Meyer : L'abbé de Louvois supervisait alors, en tant que Bibliothécaire du roi, le Cabinet des médailles. L'original de la lettre a été vendu [fichier Charavay].)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Johann Georg Graevius - 1700-7-19  + (Remarques de Guy Meyer : Le calamiteux HisRemarques de Guy Meyer : Le calamiteux Histoire des quatre Gordiens prouvée par les médailles de Du Bos, parut en 1695. Il s'attira deux répliques cinglantes, l'une de Galland, Lettre touchant à l'histoire des quatre Gordiens prouvée par les médailles, Paris, 1696 et l'autre de Gisbert Cuper, Historia trium Gordianum, Deventer, 1697. Cette polémique commune fut à l'origine de l'amitié qui liait Galland et Cuper. Il est possible qu'il existe un autre exemplaire de cette lettre à Utrecht dans les archives Graevius.ttre à Utrecht dans les archives Graevius.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Pierre Bayle - 1696-6-25  + (Remarques de Guy Meyer : Marc-Antoine OudiRemarques de Guy Meyer : Marc-Antoine Oudinet, garde des médailles du Cabinet du roi, fut d'abord avocat. Il était originaire de Reims comme Pierre Rainssant qui gravitaient tous deux dans l'orbite du frère de Louvois, archevêque de Reims lequel avait la charge de la Bibliothèque et du cabinet des médailles au nom de son neveu sous la tutelle de son frère ministre depuis la mort de Jean-Baptiste Colbert. Rainssant, médecin de Monseigneur Le Tellier devint, sur sa recommandation, le médecin personnel de Louvois et le garde des médailles du cabinet du roi. Nicolas Bergier, auteur de l'Histoire des grands chemins de l'Empire romain, Paris, 16221, était lui aussi rémois. Oudinet connaissait une version avec des annotations autographes. Henninius (Henning) travaillait alors à une traduction latine de cet ouvrage pour le Thesaurus antiquitatum Romanorum, vol. X, de Graevius, paru à Utrecht en 1699. Le traducteur a bénéficié, comme le rappel Graevius dans sa préface des corrections et des ajouts inédits de Bergier grâce à Oudinet et Du Bos, nommément cités tous les deux à la première page de la préface de ce volume. De plus cette édition est enrichie de gravures de médailles qui manquent dans la première de 1622. Cette dernière version (1699) a servi pour une seconde édition française, à Bruxelles, en 1728, en deux volumes, suivie d'un second tirage en 1736.</br>Marc-Antoine Oudinet (1643-1712); Nicolas Bergier (1567-1623), Histoire des grands chemins de l'Empire romain, Paris 1622 et 1728; Henninius, traducteur (en latin); sur Du Bos et Mabillon, Lombard 1913, p. 22 et lettre 1191, n. 3. Dans la lettre suivante à Bayle, du 23 septembre 1696, Du Bos informe son correspondant : «J e n'ay point encore reçu Bergier apostillé de la main de l'auteur que Monsieur Oudinet doit m'envoyer ». [Gigas 1890, p. 277, Lettre V; 1148] Réponse de Bayle : du 23 juillet 1696, de Rotterdam, Lettre 1137; + 1) lettre de Bayle, du 3 septembre 1696, 1156; 2) p. 288, lettre VI, du 18 novembre 1696, Lettre 1160.ttre VI, du 18 novembre 1696, Lettre 1160.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1696-9-24  + (Remarques de Guy Meyer : Pour le livre de Remarques de Guy Meyer : Pour le livre de Cellarius contre Hardouin, voir la lettre de Du Bos à Bayle du 10 août 1696. Le livre de Lorenz Berger (1653-1705), premier volume d'une série, s'intitule exactement, Thesaurus Brandenburgicus selectus sive gemmarum et numismatum Græcorum in cimeliarchio Electorali Brandenburgico, Cologne, 1696. Bergier fut le garde du cabinet de Karl-Ludwig von Pfalz, prince Palatin, père de Madame, cf. Van der Cruysse 1986, p. 20. Il passa à Berlin avec la collection numismatique de son ancien maître. Sur le livre de Bergier, voir la lettre de Du Bos à Bayle du 25 juin 1696 et la correspondance avec Thoynard.n 1696 et la correspondance avec Thoynard.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Pierre Bayle - 1696-2-10  + (Remarques de Guy Meyer : Si l'on suit la dRemarques de Guy Meyer : Si l'on suit la double négation de Du Bos, Galland aurait affirmé que Zosime, bien qu'antérieur au Pseudo-Capitolin aurait cité ce dernier. Bien que nous sachions aujourd'hui que Zosime est postérieur au pseudépigraphe, Galland ne dit rien qui puisse tomber sous la critique de son censeur : «Mais comme lui [Zosime] et Capitolin étaient à peu près contemporains [une cinquantaine d'année les sépare], je ne sais si l'on pourrait croire que Zosime eût lu l'ouvrage de Capitolin ou même qu'il l'ait connu ou qu'il ait entendu parlé de lui » (Lettre touchant à l'histoire des quatre Gordiens, p. 41). Galland reproche surtout à Du Bos de corriger Zosime pour le conformer à sa thèse aventurée (Lettre touchant l'histoire..., p. 24-30, où il est évident que le manuscrit de la bibliothèque du roi est corrompu mais que la correction proposée par Du Bos à cet endroit ne vaut rien). Le Specimen universae rei nummariae antiquae parut à Leipzig en 1695. L'abbé Pierre Bizot, spécialiste de numismatique « moderne », mourut en 1696. numismatique « moderne », mourut en 1696.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1701-4-17  + (Remarques de Guy Meyer : Sur la collectionRemarques de Guy Meyer : Sur la collection du cardinal Giacomo Cantelmo Suart (1640-1702), archevêque de Naples depuis 1691, I. M. Iasiello, Il collezionismo di Antichità nella Napoli dei viceré, Naples, 2003, p. 186, qui souligne avec Du Bos l'érudition du personnage. Montfaucon dans son Diarium Italicum, Paris, 1702, p. 303, rapporte la visite de son cabinet composé de plusieurs séries de médailles, après avoir lui aussi souligné son application aux études. Il possède aussi de nombreuses monnaies avec des légendes en samaritain, grec et latin dont il n'eut pas le temps de prendre en notes. Les mots « antiquaire de renom » remplacent deux mots raturés illisibles. La légende de la première monnaie est traduite du phénicien. Les quatre dessins sont conservés.nicien. Les quatre dessins sont conservés.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1698-8-21  + (Remarques de Guy Meyer : Sur les projets dRemarques de Guy Meyer : Sur les projets des Huguétan concernant les livres de Vaillant, voir ci-dessous la lettre du 4 septembre 1698 et les remarques ci-dessus à la lettre du 19 octobre 1696. Plus précisément, sur les Numismata... græcè loquentibus..., réimprimés augmentés par les Huguétan voir les lettres de Foy-Vaillant aux Huguétant du 10 septembre 1698 et du 2 octobre 1699, cf. Chr. E. Dekesel, « Jean Foy-Vaillant (1632-1706) : the Antiquary of the King », Wolfenbütteler Forschungen, bd. 64, Numismatische Literatur 1500-1864, Wolfenbüttel, 1995, pp. 50-53, qu'il faut compléter des lettres de Du Bos sur ce point. Sur la toute première édition de ce livre par souscription, voir la lettre de Du Bos à Foy, abbé de Saint-Hilaire, du 18 aôut 1696.y, abbé de Saint-Hilaire, du 18 aôut 1696.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Léonor Foy - 1698-12  + (Remarques de Guy Meyer: La lettre est certRemarques de Guy Meyer: La lettre est certainement expédiée de Paris. L'achevé d'imprimé du livre de Baudelot, Histoire de Ptolémée Aulètes, est du 10 septembre 1698. La lettre est nécessairement postérieure. Galland en reçut à Caen un exemplaire dans la seconde moitié de décembre 1698. On peut supposer que la lettre de Du Bos se situe quelque part entre la fin octobre 1698 (il est encore à Lille autour du 15 octobre) et février 1699. La critique de Du Bos est encore plus dévastatrice pour Baudelot que celle de Galland dans sa lettre à Genébrier du 24 décembre 1698 : il a reconnu non pas Ptolémée Aulète mais Dante Alighieri ! Voir la lettre de Du Bos à Thoynard du 17 septembre 1699.de Du Bos à Thoynard du 17 septembre 1699.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Nicolas Thoynard - 1699-5-1  + (Remarques de Guy Meyer: Sur cette affaire au long court voir les lettres à Bayle, du 25 juin 1696 et à Thoynard du 19 octobre 1696. Pour le passage de Du Bos à Utrecht, en août 1698, voir la lettre à Thoynard du 21 août 1698.)
  • Sophie Charlotte von Hannover - Gottfried Wilhelm Leibniz - 1711-3-11  + (Remarques de Guy Meyer: voir la lettre suiRemarques de Guy Meyer: voir la lettre suivante du 1er avril 1711 et les réponses de Leibniz en date des 28 mars et 1711. Van Der Cruysse ne cite pas la réponse ni la seconde lettre. En cette même année 1711, en février, Sophie avait déjà offert à sa nièce une suite de médailles. offert à sa nièce une suite de médailles.)
  • Cousinéry 1810  + (Reprint of 5 letters published in the "MagReprint of 5 letters published in the "Magasin Encyclopédique, ou Journal des Sciences, des Lettres et des Arts": </br></br>1° letter: Magasin Encyclopédique, 1807, tome III, p. 106-133; </br></br>2° letter: Magasin Encyclopédique, 1807, tome V, p. 51-88; </br></br>3° letter: Magasin Encyclopédique, 1808, tome III, p. 76-110;</br></br>4° letter: Magasin Encyclopédique, 1810, tome I, p. 283-309; tome II, p. 5-40;</br></br>5° letter: Magasin Encyclopédique, 1808, tome I, p. 5-48.sin Encyclopédique, 1808, tome I, p. 5-48.)
  • Goltzius 1581  + (Reprint of first edition published in 1576Reprint of first edition published in 1576 (see Goltzius 1576a).</br></br>This book is part of a series of 4 books with a general title: Graecia sive historiae urbium et populorum Graeciae ex antiquis numismatibus restitutae. Libri Quatuor:</br></br>Lib. I. Sicilia et Magna Graecia; </br>Lib. II. Epirus, Peloponesus, Thessalia, Macedonia et Thracia; </br>Lib. III. Insulae Graeciae; </br>Lib. IIII. Asia, Syria, Aegyptus et Africa.</br></br>Only the first book was published.frica. Only the first book was published.)
  • Goltzius 1644  + (Reprint of the second edition published in 1618 (see Goltzius 1618b). The first edition was published in 1576 (see Goltzius 1576a).)
  • Giuseppe Magnavacca - Giovanni Battista Cattaneo - 1680-5-6  + (Repris dans le GD comme une lettrede Cattaneo à Magnavacca. A contrôler.)
  • Property:Resources  + (Resource)
  • Property:Resources  + (Ressource)
  • Thomas Hearne - 1729-04-27  + (Retracted in a later entry: [[Thomas_Hearne_-_1729-05-20|Thomas Hearne - 1729-05-20]])
  • Bertoli 2002 vol. 2  + (Riproduzione del ms. 7493, Fondo Cernazai della Biblioteca P. Bertolla del Seminario arcivescovile di Udine.)
  • Bertoli 2003 vol. 3  + (Riproduzione del ms. 7493, Fondo Cernazai della Biblioteca P. Bertolla del Seminario arcivescovile di Udine.)
  • Property:Recipient  + (Récepteur)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Natalizio Benedetti - 1614-5-25  + (Réponse à la lettre du 24 janvier : « ... Réponse à la lettre du 24 janvier : « ... Ma lasciando questo per rispondere alla sua lettera sudetta, io le dirò che il primo libro dell’Huomini illustri dell’Ursino (che fu stampato in Roma in fol.) non si trova per danari, et manco in queste bande che in Italia, di che mi dispiace sommamente non poter dare questa sodisfattione a V.S. Ill.re; ma se per sorte mi! capitasse, ella può essere sicura che glie lo manderò senz’altro. L’altro si di Gio. Fabro in 4° Anversa, con la gionta lo mando per questa medesima strada. Il Colbergo haveva comminciato di stampare le Medaglie Imperiali d’oro dello studio del Duca d’Arscot, ma venendo a moriredetto Duca, bisogna che l’opera sii restata imperfetta, al meno io non l’ho mai veduta. (...) Ho veduti volontiere la lista de’libri di V. S. Ill.re, ma trovandone io parecchi de quali io non ho havuta notitia, più che tanto io la prego di volermene mandare un’altra lista più distesa, con i titoli intieri de detti libri per meglio distingerli uno dall’altro, et procurerà di mandarle tutti che potrà ritrovare che non sieno trà i suoi. Quanto alli Oboli di metallo io metterò insieme questa vacanze tutti quelli ch’io mi ritrovo, anco di chiarirla di quanto me sarà possibile che non gli prometto la cognitione di tutti,sendocene molti [per] me tropo difficile. Hè (sic) ben vero che si havessi l’improto di tutti quelli di V.S. forzi che la visita de l’uno potrebbe giovare per la dichiaratione di alcun altro. Quella Medaglia Crotoniata o contornita (sic) della quale mi ha mandato l’impronto è belissima, io non ci leggo (come ella dice) SERPENATIUS, ma più tosto SERPENTIUS, et credo che ciò che le ha potuto un A sia in ferro del dardo che tiene in mano, et stimo che sia di quelli Atlheti (sic) che combattevano nell’arena in honore delli quali si potevano fare Medaglie, come facevano all’honore de gli Aurigari vencitori nelli giuochi Circensi, quale è quello Domnus PHILODEMUS, mentionato nella Medaglia di Severo appresso il Panvinio de Ludis Circensibus cap. XI Tabula numero VI, et infiniti altri stravarii (sic) che si veggono per i studii d’Italia. Anzi vorrei credere che fosse stato di quei venatori che combattevano contra le bestie salvatiche per trattenimento del popolo, de quali fa mentione l’istesso Panvinio libro II cap. I Tab. 5 num. III et nello seguente, et che codesto Serpentio con suo dardo havesse vinto quella bestia extravagante che si vede nel rovvescio ferita d’un dardo, con una figura humana giacente appresso che poteva essere l’istesso Serpentio prima atterrato, et poi finalmente vencitore. Che se nella mano destra vogliamo dire che l’istessa figura porti una fonda (sic), di che dubbio per mancamento dell’impronto, havrà usato della fonda, et poi de dardo per offendere quella bestia a noi incognita, con quella coda si lunga. L’una delle due Monete d’argento è di un Re d’Inghliterra vecchio, di che la ringrazio sommamente. La medaglia di Galba sarrebe più fedele che il dissegno quando convenga stamparla. Delle nove Muse stampate nelle famiglie dell’Orsino, et di là transferite nelli Dialoghi di Ant. Augustino io ne ho veduto qualche d’una per sorte, ma non mi ha mai capitato di acquistarne alcuna; hebbi solamente l’Hercole Musarum il quale mando a V.S. qui inchiuso, dispiacendomi di non haver le compagne, ma trovandone le manderò subito; et desidero di sapere chi è quello che lavora intorno le Muse, se le piace, et lo servirò di quanto sarà a me possibile » (Bibl. Municipale d’Avignon, Ms 202 (1020), pp. 115-118, minute ; voir V. Carpita 2006, p. 150-151, doc. 9). Note (Guy Meyer): Le premier livre est Imagines et elogia virorum illustrium et eruditor ex antiquis lapidibus et nomismatib(us) expressa cum annotatione ex bibliotheca Fulvi Ursini (Rome, 1570), et le second, sur le même sujet, mais tiré principalement de monnaies, [Johannes Faber de Bamberg, médecin du pape (1574-1629), Imagines illustrium ex Fulvii Ursini bibliotheca (...), Commentarius (Anvers, 1606). Peiresc avait vu le cabinet du duc de Croÿ et d’Aerschot lors de son voyage en Hollande. Le livre Imperatorum romanorum a Julio Caesare ad Heraclium usque, numismata aurea, (...) Caroli ducis Croii et Arschotani &c., dessiné par Jacob de Bie (autre auteur, Jean Hémelar ou Hemelær, Hollandais, 1580-1655), fut imprimé à Anvers en 1615 (16272). Dans une lettre à Dupuy, du 11 novembre 1627, Peiresc demande à son correspondant « le commentaire de Jo. Hemelarius sur les médailles d’or du duc d’Arscot «, cf. tamizay de Larroque, Peiresc, Correspondance, I, Lettre LXXVIII, p. 410 (vente des livres de M. Aleaume). Peiresc fait allusion à propos de la monnaie « SERPENTIVS «, à Onofrio Panvinio, de Vérone, de Ludi circensibus libri II (Rome, 1600), p. 26 et la planche qui fait suite, et à la planche qui suit la p. 86.fait suite, et à la planche qui suit la p. 86.)
  • Francesco Gottifredi - Charles Patin - 1664-8-26  + (Same letter at Basel, BU, UB Handschriften G2 I 23a: f° 18. Das Buch wurde dem Papst überreicht: warum es so lange gedauert hat. Grosse Anerkennung seitens des Papstes.)
  • Property:Collector  + (Sammler)
  • Property:Collector  + (Sammler.)
  • Sestini 1821a  + (Second edition of the work published in 1797.)
  • Foy-Vaillant 1692 vol. 1  + (Second edition of the work.)
  • Foy-Vaillant 1692 vol. 2  + (Second edition of the work.)
  • Tristan de Saint-Amant 1644 vol. 1  + (Second edition of the work. First edition published in 1635.)
  • Tristan de Saint-Amant 1644 vol. 2  + (Second edition of the work. First edition published in 1635.)
  • Tristan de Saint-Amant 1644 vol. 3  + (Second edition of the work. First edition published in 1635.)
  • Angeloni - Bellori 1685  + (Second edition with additions of Giovanni Pietro Bellori. The first edition was published in 1641 (see Angeloni 1641).)
  • Goltzius 1618b  + (Second edition with scholia by Andreas Schott. The first edition was published in 1576 (see Goltzius 1576a).)
  • Pinkerton 1789 vol. 1  + (Second edition.)
  • Cristiani 1769  + (Second edition.)
  • Pinkerton 1789 vol. 2  + (Second edition.)
  • Bianconi 1763b  + (Second edition. The first edition was published in 1748 (see Bianconi 1748).)
  • Aleandro 1617  + (Second edition. The first edition was published in Rome in 1616.)